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Les laboratoires militaires... c'est tout d'abord une vue à 180° sur la mer, une multitude de bâtiments à visiter, tous plus différents les uns des autres. Certaines machines encore présentes rendent ce lieu vraiment intéressant, ainsi que la structure d'insonorisation blanche et bleue posée sur le toit d'un des bâtiments. De nombreuses pièces sont dévastées, mais au milieu de tout ce tumulte certaines merveilles s'y cachent: "la salle des officiers" avec son plafond miroir couleur or, les hangars, avec leurs volumes impressionnants, "le bureau du chef" j'imagine que ce bureau était celui d'un haut gradé, avec sa petite avancée sur la mer, qui ferait pâlir d'envie n'importe quel employé de bureau. Pour le reste je vous laisse le découvrir en photo, bonne visite à tous...
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Piscine abandonnée dans le sud de la France, un lieu qui une fois de plus a subi les ravages du temps et de l'homme. Le bassin intérieur fermé au moment de notre visite sur ce site est semble-t-il de nouveau accessible.
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De ce lieu qui abritait autrefois une forge de pièces automobiles et poids lourds, il ne reste que des décombres, des entrepôts vidés, 9 hectares de friches, ces 13 années d'abandon ont eu raison de cette industrie, qui à l'époque faste employait pas moins de 280 salariés. Je pense que de ce lieu il ne reste plus rien à protéger, le site est signalé comme amianté, mais de l'amiante non plus nous n'en avons pas vu. Alors au détour d'une journée d'urbexeur, peut-être voudriez-vous jeter un coup d'oeil rapide à saint cyprien dans la loire...
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Ces établissements, étroitement liés aux sanatoriums permettaient à de jeunes tuberculeux de préparer leur réinsertion à l'issue de leur séjour en sanatorium. Tout était mis en oeuvre pour la guérison des malades mais également pour le développement personnel et la réinsertion. Après la guerre, et la quasi-disparition des sanatoriums, ces instituts se diversifièrent, tout en conservant leur finalité d’origine. Ces structures devinrent de plus en plus nombreuses, grâce à des donations de religieuses. Puis les champs d'activité se sont élargi par la reprise et la création d'autres établissements semblables en réponse à de nouveaux besoins dans le sanitaire, le médico-social et le social.
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Auberge snack day and night Restaurant de la coupole La piscine du campus
Piscine de la station Le relais 2 étoiles La guinguette mushrooms
Le labyrinthe de verre L'hôtel Rosita Le club libertin
Le palais Kowloon L'hôtel détaxé L'hôtel Pescadou
Western Mini Golf L'auberge du soleil levant L'auberge spatiotemporelle
Hôtel de l'écume La maison Bear Fiesta Mafiosa
Tennis club du Sud L'hôtel Cracked La colo X-Men
Pizzeria de la tarente La colo du taxidermiste El casino Piccione
Les termes rouges Disco du Sphynx Discoteca Divina
Le CCAS des Galopins L'hôtel pyramide Hôtel Yacht
Le lance Pierre Colonia del mare L'hôtel du faisan
Discoteca Leopardo Village vacances du doudou L'hôtel Odile
L'hôtel Gervais L'annexe de la veuve noire L'auberge de la veuve noire
Le camping mouvant Centre coulrophobique Le téléféérique
La taverne Mitziig Le CCAS interdit Cristal club
Mimetism hollidays Teddy's red house Disco travel
L'hôtel amphet Albergo di montagna People house
Auberge Cat's Bagni termalli della grotta Le pavillon de chasse
Resto le black pearl Prochainement L'hôtel Marcel
Disco Scary Albergo panoramico Village vacances du surfeur
Le domaine Wolowitz
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Le site de la distillerie a été construit comme un véritable monastère avec une seule entrée, une partie centrale isolée et un droit d’accès strictement limité. Il y avait d’ailleurs uniquement une trentaine de personnes qui y travaillaient dont 3 moines qui connaissaient la fameuse recette (une partie ou l’intégralité, nul ne le sait vraiment). En 1865, durant les temps forts, il semblerait que les moines produisaient jusqu’à 3,5 millions de litres de liqueur par an ! Ils mettaient en bouteille environ 5000 litres par jour.
On distingue encore les parcelles de l’ancien jardin.
La salle des alambics est actuellement en état de dégradation avancée car il n’y a plus de toit dans la salle du dessus. Les 3/4 de la distillerie ont disparu sous le glissement de terrain. A l’entrée du site se trouvait la loge du gardien, mais n’existe plus aujourd’hui. La distillerie n'a fonctionné que pendant 75 ans, l'activité pris fin suite à un glissement de terrainLes salles "phares" de la distillerie sont :
- la salle des alambics (on dit qu’il y en aurait 11 au total)
- la salle du séchage des plantes
- la salle des mélangesD’où venaient les plantes ?
Les jardins de la distillerie participaient au fruit des cueillettes avec notamment une zone de plantation et de récolte, une zone avec une pépinière, un potager... Ils avaient bien sur d’autres terrains où les plantes étaient cueillies par les locaux.
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Les forges moniales La distillerie moniale Le couvent de la pleureuse
La colo catho La commanderie perdue Santuario Magnani
Chiesa Alpi Istituzione dei fratelli La chapelle Replica
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Ces forges ont été bâti par des moines maître forge au XIV ème siècle. Ils construisent ensuite les fours et les martinets qui restent en fonctionnement jusqu'en 1790. Les mines voisines avaient un rendement faible, mais la plaine permettait au besoin de recevoir des minerais de provenance extérieur au massif. Pour réduire ce minerai en fer, les immenses forêts alentours pouvait donner tout le combustible nécessaire. La forge disposait comme source d'énergie, la rivière qui par l'intermédiaire de roues hydrauliques, permettait de mettre en marche la soufflerie des fourneaux et les marteaux des forges. Les carrières calcaires voisines favorisaient la construction ou la réparation des installations.
La méthode de fabrication consistait à mélanger, dans le fourneau, le minerai broyé et le charbon de bois incandescent, l'oxygène se combinait avec le carbone, et il restait un massot de fer pur. Le rendement était très faible: il fallait 200 kg de minerai et 25 stères de bois pour obtenir 50 kg de fer, les forêts s'épuisaient vite. Au XIII ème siècle, une grande nouveauté apparaît, la métallurgie à deux temps: on fabrique la fonte d'abord, elle même transformée en acier ou fer par les martinets. Pour parvenir à la combinaison massive du carbone et du fer aboutissant à la formation de la fonte, on devait réaliser une température telle que le soufflage naturel ou obtenu à la main d'homme était insuffisant, il fallait la puissance d'engin mécanique accolé au fourneau.
Les conditions de cette nouvelles métallurgie sont remplies dans cette forges, certains disent que c'est sur ce site que la technique de la fonte du fer a été trouvé sans doute à la fin du XII ème siècle, mais cette hypothèse n'est étayée d'aucune preuve.
Plusieurs exploitants ont pris la suite entre 1792 et 1888. Entre 1888 et 1980, le site est devenu une usine métallurgique. Une micro-centrale hydro-électrique a été conçu en même temps. Puis le lieu servit à des entreprises de travaux publics, ainsi qu'à une cimenterie qui s'en servira alors de lieu de stockage.
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Institut de géologie Le centre de conférence Le pensionnat de l'écureuil
Collegio Agnello Le CFA de la barque Le pôle emploi
Le collège de l'hémisphère Collegio Decadimento Orfanotrofio de caniglio cretino
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Depuis le XIXe siècle, on étudie la géologie à l’Université. Dans les années 1950, à l’étroit dans des locaux vétustes de la rue Très-Cloîtres, les responsables universitaires décident de construire un bâtiment dédié à cette matière. L’Institut, ouvre ses portes à la rentrée 1961. C’est alors « le laboratoire de géologie le plus moderne d’Europe et celui bénéficiant du panorama le plus exceptionnel des Alpes ».
Pendant des dizaines d’années, on amasse dans ce bâtiment une quantité astronomique de pierres provenant du monde entier. Certaines, contenant de l’uranium, sont radioactives, et signalées comme telles. « Je ne crois pas que c’était dangereux, nous raconte un ancien étudiant. Les pierres radioactives, on les voyait, mais normalement on ne les touchait pas. Je me souviens juste de quelques détails étonnants : une fois j’avais vu un colis, envoyé par la Poste, avec marqué en gros dessus ‘‘attention matières radioactives’’. Une autre fois, un évier avait été condamné pendant plusieurs mois avec un panneau ‘‘attention radioactif’’. Mais en tout cas, personne ne nous disait qu’il y avait un véritable danger ». Selon d’autres personnes, il y avait également à dans cet institut de la pechblende et de l’autunite, deux minéraux radioactifs, et des flacons de sel uranyle.
Le bâtiment de l’Institut est trop excentré par rapport aux autres instituts scientifiques de la ville: les responsables universitaires vont donc progressivement l’abandonner. Au milieu des années 2000, les différents laboratoires migrent dans les bâtiments de l’Institut des sciences de la terre, sur le campus de la vile voisine. Certains étudiants en géologie restent jusqu’à l’été 2011, avant de rejoindre le campus. Le bâtiment est alors fermé mais pas complètement abandonné, car il abrite encore les collections du musée de paléontologie et de minéralogie. Aucun autre lieu ne pouvant récupérer les dizaines de milliers de pierres, le propriétaire des lieux, décide des les laisser là en attendant.
À côté, l’ancien Institut de géographie alpine, a été fermé une dizaine d’années plus tôt, au début des années 2000. Depuis, ce bâtiment a été de multiples fois visité, squatté, tagué, dévasté. Forcément, quand le bâtiment géologique se vide, le même phénomène se produit : des personnes entrent dans le bâtiment, parcourent les lieux, récupèrent du matériel, y passent du temps.
Le propriétaire s’en rend vite compte et décide en catastrophe de déménager les collections, au cours de l’année 2012. Aucune idée des précautions prises par rapport aux minéraux radioactifs, mais il est certain que le bâtiment conserve aujourd’hui des traces importantes de radioactivité.
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