Pourquoi ce nom, Nous demanderez-vous? Il est vrai que ce lieu a l'air très accueillant, mais les apparences sont parfois trompeuses, une fois passé la porte d'entrée très feuillues, tout est sombre, les cadavres d'animaux jonchent le sol, la peinture s'écaille, la végétation se faufile à l'intérieur du bâtiment laissant entrer quelques filet de lumière, dans la cave, des araignées, pour la plupart morte, ne laissant que leur piège au milieu de ces longs couloirs. Une visite à déconseiller aux âmes sensibles...

Si l'on oublie les attaques violentes et répétés que nous avons essuyés dans ce spot, on peut dire que pour un premier urbex italien, c'était plutôt une superbe découverte, dommage que les lieux soient vides, mais les peintures ornementales meublent à elles mêmes les pièces... Il fût notre premier urbex italien, un début plutôt prometteur...

Un petit ajout d'informations concernant ce château, quelques années après notre visite celui-ci est maintenant en cours de restauration et sera destiné à des évènements tels que des mariages ou des banquets, il sera apparemment ouvert à la visite, donc finit pour lui les petits explorateurs cachés, Il Castello Clonato Rovasenda Vercelli est sauvé et peut profiter d'une nouvelle vie.

Après quelques mètres parcouru dans une végétation dense, nous arrivons devant cette demeure, un petit bijou jalousement gardé par la forêt. Du grand art à l'italienne.

Un lieu vraiment magique, le paradis de l'urbexeur. Habitations, église, demeure de maître, tout est réuni pour assurer de longues heures de découverte.

Une ferme qui d'apparence à l'air abandonnée, mais en réalité pas du tout... celle-ci est colonisée par une bande d'araignée très peu accueillante. Après s'être frayés un chemin au milieu de toutes ces habitations clandestines filandreuses, nous arrivons à pénétrer dans les lieux, non sans mal.

Une petite pizzeria grill du sud de la France, trouvé par hasard lors d'une virée urbex

Un superbe spot, une atmosphère comme celle que nous aimons trouver dans ces lieux, de la végétation, des murs décrépis, malheureusement très peu d'objets, mais le bâtiment se suffit à lui même. Ceci dit, cela fait beaucoup de photos de couloirs, dommage...

 Un immense chef-d'oeuvre, ce lieu nous en a mis pleins la vue, pas besoin de long discours, les photos parlent d'elles-mêmes...

L'inscription sur le panneau tient déjà quelque peu de l'étrange, mais une fois entrée dans le lieu le doute plane vraiment quand au type d'être humain qui occupaient ce bâtiment. Des flageolets et des pois chiches séchés dans un porte-savon, une toile avec une femme aux allures de mutante... un mystère bien grand pour un si petit spot.

Le sanatorium du coiffeur, en voilà un que l'on a pas revu depuis longtemps, nous avons enquêté sur ce lieu qui fût autrefois un endroit très à la mode. De nombreux urbexeurs ont jadis flashé les moindres recoins de cet endroit, puis un jour plus rien. En nous rendant sur les lieux nous trouvons ici et là des ouvertures, mais à notre grand regret aucune ne donnant accès au bâtiment principal. Nous fouillons les moindres recoins dans l'espoir de trouver une entrée, mais rien, nous rencontrons d'autres urbexeurs eux aussi arrivés trop tard comme nous. Après avoir fait trois fois le tour du complexe, nous décidons de pique-niquer, passer un moment devant ce lieu que nous n'avions jamais espéré voir en vrai tant la distance qui nous sépare de lui est grande. Alors fermé oui, mais il fait parti des premiers spots devant lequel, nous jeunes urbexeurs que nous étions en 2013 rêvions de visiter un jour.